Étiquettes : Pipapo le 3 août 2008
Je me souviens de ma première radio, un petit poste noir qui tenait presque dans la main. Je le cachais sous mon traversin pour l’écouter en cachette avant de m’endormir, et quand je me réveillais le lendemain matin, les piles étaient mortes.
Premières fois | Première radio | 3 Comments »
19 juillet 2009 at 0:02
Moi, c’était un petit transistor japonais, orange, que j’écoutais la nuit, je me souviens de l’émission de Luc Bérimont qui se terminait par « vive la poésie », je me souviens de Viki Messica lisant ou récitant Booz endormi, que j’entendais ainsi »beaux endormis »avant de reconnaître le poème de Victor Hugo, et j’étais presque déçue,tant ce titre erroné me plaisait .
19 juillet 2009 at 11:01
C’est vrai que Beaux endormis, c’est quand même plus pimpant…
ça me rappelle que Booz endormi est cité dans un roman de Fred Vargas, Sous les vents de Neptune, il me semble. C’est la fin du poème :
(Je suis allé la chercher sur le Web, je ne l’avais pas en tête…) On rencontre ce passage à plusieurs reprises dans le livre, un peu comme un leitmotiv.
12 septembre 2009 at 22:22
Intéressant …
Je n’ai pas lu ce roman de Fred Vargas…