Étiquettes : Patachon le 13 mai 2008
Je me souviens de la sensation à la fois irréelle et euphorique à la fin des nuits blanches, quand à peine rentré pour avaler un café et me raser, je repartais directement travailler. J’y repense avec un peu de nostalgie, parceque maintenant, quand je dépasse minuit, il me faut trois jours pour récupérer.
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